Mao on le craint, l’Oncle Ho on l’aime !

29 années plus tard, en 1949, le voici entouré de quelques soldats à l’occasion de la fête du Têt. On entrait dans l’année du bœuf.

Le Vietnam ne sera réunifié qu’en 1976, un an après la chute de Saïgon et le départ des américains.

P.S. SI je vous dis 225-450-2100 … ?

Aux abords de l’hôtel … le « destrier » qui va avec … en jaune bien sûr !

Suite à vos nombreux commentaires, quelques réponses que je compléterai dans les posts suivants
:
@ Élodie : merci pour le tuyau, c’était fermé hier mais on va y aller ce soir !
@ Dreun Mè : c’est vrai que le Laos est terriblement accueillant, tellement doux et paisible par rapport aux palpitations effrénées d’Hanoï ..
@ Gégé : j’ai eu une pensée pour toi en passant devant l’entrée du golf de Luang Prabang … il me semble que tu m’as dit un jour y avoir fait un parcours …
@ Nicole : il y a aussi des ponts
@ Mergers & Co : ok RV Hanoï … mais on quitte mercredi prochain …

Hou la la … Ça décoiffe… Arriver en plein centre Hanoï le soir du second jour de Nouvel An… Tempête de sons, d’odeurs, d’images … Tourbillon de couleurs, cacophonie en klaxon majeur et envolés d’Ào Dài ..

Petite journée tranquille à se perdre de ruelles en ruelles dans le bourdonnement des marchandes d’arachides, de graisse de buffle, de fruits séchés découpés façon chips, de sauces … et bien sûr de petit artisanat pour touristes.

Pour finir cet épisode Luang Prabang une petite vidéo sur le bac qui traverse le Mékong :

En tant qu’animal qui mue, il symbolise le renouvellement, la transformation et la renaissance. Il évoque la séduction mais aussi l’agilité sur tous les terrains.

À une heure de scooter de Luang Prabang, entre Mékong et Nam Khan, s’élève jusqu’à environ 1 000 mètres un relief boisé : c’est ici que sur plusieurs niveaux les cascades de Kuang Si se donnent en spectacle.

Pour notre deuxième partie de journée il nous faut repasser par Luang Prabang et faire à nouveau une heure de scooter (en remontant le Mékong …)

Le contraste (par rapport à Vientiane) est saisissant à un double titre :
– Les villas à l’architecture coloniale rivalisent de séduction et le Mékong, serpentant ici entre des collines verdoyantes, invite le voyageur à une langueur paresseuse …
– L’afflux de touristes donne parfois le tournis : c’est épaule contre épaule, tel au souk de Marrakech, que l’étranger parcoure les dizaines d’étals à même le sol en quête d’un carré de soie, d’une pièce de coton ou un morceau de bois sculpté …

Perché sur une colline dominant le Mékong d’environ 250 mètres se trouve le Wat Phousalao, le Temple du Bouddha Doré.
Face au fleuve, couvant Paksé de son regard empli de bienveillance et de compassion, une imposante sculpture de Bouddha …

Ce matin nous étions allées dans un centre commercial … petite vidéo de la partie « détente » …

Plateau éponyme de la tribu des Lavens, d’une altitude moyenne de 1 000 mètres, constitué de roches volcaniques, il est propice à la culture du manioc et du café … et se donne en spectacle via plusieurs cascades parfois vertigineuses …

Aujourd’hui c’est journée « Off » mais ce soir on essaie d’aller voir le coucher de soleil (encore et toujours sur le Mékong !) du sommet de la colline au sud de Paksé, où se situe le Wat Phousalao.